Louis-Étienne Santais dévoile une touchante Session Live pour «Berlin, Ontario»
Acclamé par la critique pour son premier album paru le 27 novembre dernier, c’est à quelques jours de son spectacle au Palais Montcalm que Louis-Étienne Santais dévoile une nouvelle Session Live. À nous en donner la chair de poule, filmée chez lui cet été sur le piano que son grand-père lui a légué, la pièce « Berlin, Ontario » prend ici tout son sens.
« Ce morceau a été composé sur ce même piano et s’est retrouvé sur l’album en l’honneur de mon défunt grand-père, un musicien qui a été une grande inspiration pour moi. La marque du piano est “Berlin, Ontario” ce qui peut paraître un peu étrange à priori… C’est en réalité son lieu de fabrication. »
Or, Berlin en Ontario n’a existé que jusqu’en 1916, année durant laquelle cette ville a été rebaptisée sous le nom de « Kitchener » pour s’affranchir de tout lien avec l’Allemagne. Sans avoir fait de recherche approfondie, Louis-Étienne peut du moins conclure que le piano sur lequel il interprète cette touchante version a plus de 100 ans.
Un deuxième Palais Montcalm
Après avoir fait la première partie de Ghostly Kisses au Palais Montcalm en novembre dernier, Louis-Étienne Santais récidive. Le 4 février prochain, le pianiste aura cette fois la chance d’y interpréter pour la première fois en spectacle l’ensemble de son œuvre « Reflection I ». Une occasion en or pour celui qui ne cesse de retenir l’attention depuis la sortie de son premier opus.
« Ce sera une formule avec plusieurs musiciens, dont un quatuor à cordes, avec une pianiste (Hélène Desjardins) et une chanteuse invitée pour certaines pièces. Je présenterai même des versions de certains morceaux réarrangées spécialement pour l’occasion ! »
Une soirée néo-classique qui promet alors que Louis-Étienne Santais partagera la scène avec Simon Leoza (Tambour) dans le cadre de ce programme double virtuel.
Billets disponibles juste ici : http://bit.ly/3nmnKxZ